De la saturation du virtuel

Ça y est, je crois que je suis presque arrivé à saturation. Pourtant, je ne suis pas un grand utilisateur, mais j’ai de plus en plus de mal avec Facebook, Twitter et consors, qui me font ingérer des tonnes d’informations plus ou moins vitales et me dévient des choses importantes de la vraie vie vraie !

Je crois que ça me transforme en animal sédentaire moins social. Je vois de moins en moins mes amis et lorsque je les vois, j’ai l’impression de ne pas vraiment avoir de choses à partager parce que j’ai déjà tout lu de leur actualités, à droite ou à gauche. Et eux pensent que je suis au courant de tout parce que c’était écrit ça ou là, alors qu’il est finalement très aisé de louper une info.

C’est dommage. Dommage que de tels outils en arrivent à polluer les communications et provoquer l’effet inverse, au final.

Pour commencer ma désintoxication, j’ai vidé mon Facebook, je tweete peu, j’ai nettoyé mon Google Reader, etc. Et surtout, j’examine mon carnet d’adresses et tente d’écrire ou d’appeler mes vrais amis. J’ai un téléphone et une boîte mail, je pense que c’est suffisant, non ?

La liste de Chandler

Je suis un connard. Surtout parce qu’il est quasi impossible de me trouver un cadeau. J’ai bien vu comment ma copine ou mon Secret Santa ont galéré pour savoir quoi m’offrir ce Noël.

Que m’offrirais-je ? Je veux dire, si je n’étais pas moi et qu’il fallait que j’achète quelque chose à cette personne (moi donc, vous suivez ?). Comment trouver un truc que je n’ai pas déjà, sans avoir besoin d’espionner mes étagères.

Qu’il est difficile de trouver des cadeaux pertinents pour un mec comme moi ! Et c’est le cas de beaucoup de mes amis. Nous avons aujourd’hui les moyens de nous payer les choses qui nous font envie, donc il est mille fois plus dur de ne pas faire de doublon ou de taper à côté lorsqu’on doit faire un cadeau.

Autant lorsqu’on est petit, n’importe quel Lego ou Playmobil peut faire l’affaire, autant aujourd’hui la tache est nettement plus ardue. Prenez mes frères par exemple. Que pourrais-je leur offrir (de raisonnablement cher, parce que c’est facile de faire plaisir à coup de MacBook !) ? Un DVD ? Je ne sais pas ce qu’ils ont déjà, ni vraiment leurs goûts et ce serait sûrement leur imposer les miens que de choisir un film. Un bon d’achat ? Trop impersonnel. Une fringue ? Trop risqué ; les goûts et les couleurs… Je trouverais bien quelque chose, mais j’y mettrais beaucoup de temps.

Et moi ? Si je veux me faire plaisir, comment mettre de côté une liste de must-have, dans laquelle piocher lorsque qu’un bonus ou une envie passagère vient à me tenter ?

À ces deux questions, j’ai deux réponses.

La première serait de lister mes biens. Le faire manuellement prendrait un temps infini, mais il existe des petits logiciels pour ça. Personnellement, j’utilise Delicious Library (sur Mac). C’est facile à utiliser, c’est beau et le fait de scanner les codes barre avec la webcam rend le tout très pratique. La publication en ligne est un avantage incontesté (sauf que sans mode de recherche, ce n’est pas super glop à gérer).

La seconde serait de faire des listes aux Père Noël, lapin de Pâques, petite souris, lutin pervers, etc. Amazon le permet, mais reste limité aux produits présents sur leur site ; je lui préfère des sites comme Wishlistr, qui permettent de mettre en lien n’importe quel autre site, même s’il a quelques lacunes d’interface.

Le dernier problème reste de communiquer et faire connaître ces sites. Mais n’est-ce pas ce que je fais là !?

N’hésitez donc pas à créer des listes (Amazon ou Wishlistr) et à (me) les faire connaître. N’oubliez pas non plus de les mettre à jour !

Je fais un carton

Ma vie en carton Très étrange. Oui, c’est très étrange de se retrouver, à la trentaine passée, sans maison. C’est encore plus singulier de voir sa «vie» encartonnée tenir dans une cave et de se rendre compte que l’essentiel tient dans une valise (bon OK, une grosse valise). C’est curieux de passer d’un 70 m2 à une chambre de 9 m2. C’est tout aussi drôle de partager une maison avec des amis (c’est leur maison), ça donne l’impression d’être en vacances.

Ce n’est que temporaire, à moi de tout faire pour que ce soit court. Visites prévues aujourd’hui et demain pour un nouveau «nid d’amour». We’ll see

L’effet Malinois

C’est dingue comme un seul lien vers mon blog peut «fausser» mes stats.

+1500 % par la faute à Mr. Malinois (c’est ça de connaître une «célébrité»…) et à notre lip sync pour mettre au jour notre lien de parenté caché (on serait nos quatrième frères respectifs, mais les trois autres ne sont pas les mêmes… allez comprendre !).

Ça fait beaucoup 1500 %, non ?

L'effet Malinois

Vous pouvez retrouver Didier (alias Mr. Malinois) dans la série Nerdz, sur la chaîne Nolife (Freebox canal 123, AliceBox 77, N9ufTV 68, Orange 111)

6 banalités méconnues

Littlesa a encore frappé et je tends l’autre joue.

Bien que ce «tagage» nocturne ressemble un peu au précédent, je vais tenter d’y répondre avec des choses fraîches et ça se voit.

1/ mettre le lien de la personne qui nous a tagué(e). √ fait
2/ mettre le règlement du tag sur votre blog. √ fait
3/ mentionner 6 choses, habitudes ou tics sans importance sur vous même. √ fait
4/ taguer à son tour 6 personnes pour la suite du jeu. (Enfin, si j’en trouve 6…)
5/ Avertir directement ces 6 personnes. (Et puis quoi encore, tu ne veux pas que j’y réponde pour eux non plus ?…)

  • J’aime porter des tongs. Et j’aime porter des chaussettes avec les tongs lorsqu’il ne fait pas très chaud. J’ai même acheté des chaussettes exprès à Muji.
  • J’ai toujours un bout de papier en sous-main où je griffonne des choses, textes ou dessins. Surtout des têtes de chiens bizarres et des canards avec une coupe à la cool.
  • Je préfère être en marche inverse dans un train.
  • Je déteste bosser tout seul (c’est con, c’est exactement ce que je fais depuis que je suis à mon compte…).
  • Je mangerais japonais tous les jours si je le pouvais.
  • Pendant des années je me suis épilé un poil solitaire sur mon épaule et maintenant qu’il ne repousse plus, je suis assez désemparé.

Je passe la patate chaude à Gnaat (maintenant qu’il est revenu), Doc.Fusion (comme d’hab), MiLK (mais en bande dessinée) et qu’ils aient un don d’ubiquité pour faire six.

Taguérréotype

Cococerise m’a taggué et je suis censé prendre la sixième photo de mon dossier le plus récent.

Là se pose un premier problème. Mes dossiers récents sont des dossiers de boulot, et comme ce n’est pas encore fini, je préfère ne rien diffuser.

J’aurais pu y couper court en proposant une image de mon blog métal (qui fait pas métal) pour faire un peu de pub, mais je ne suis pas comme ça ! ^^

Du coup, je pourrais prendre la sixième photo de mon iPhoto, mais comme ce n’est pas de moi, je ne peux pas me permettre.

La sixième photo de mon Flickr ? N’y comptez pas, elle est privée.

Du coup, j’ai pris le problème à l’envers. J’ai pris la sixième photo de mon Flickr en partant de la fin. Ça tombe bien, c’est une photo que j’aime bien !

Prise le 22 janvier 2008 au Motel, lors d’un concert de MiLK & Fruit Juice (que je découvrais ce soir-là), ce fut aussi le soir de ma rencontre avec Mr Malinois et d’autres gens que j’étais amenés à revoir.
Photo d’ambiance, prise avec mon téléphone. Ce serait tellement mieux aujourd’hui avec mon reflex.

MiLK & Fruit Juice au Motel - 22 janvier 2008

Je suis censé transmettre ça à 6 ouailles, mais des amis blogueurs qui n’ont pas encore été taggués, il n’y en a plus des masses. Tiens, bâ Doc.Fusion, Angrom (tu vas me détester encore !), Papao (comme si tu n’avais pas assez de photos !) et MiLK, et le deux restants pour qui veut.

Back from London

Dans les rues de Londres - ©Littlesa Et voilà, encore un weekend à Londres qui fait mentir tous les préjugés qu’on peut avoir sur l’Angleterre. Un très bon moment passé avec Pois chiche, Cococerise, Littlesa, MiLK et Mr. Malinois.

  • Il a fait un temps magnifique (même s’il faisait un peu froid), sauf le troisième et dernier jour où il a plu, sauf quand on était dehors (ce bol qu’en même !).
  • On a hyper bien (trop) mangé.
  • On a vu la Reine et elle est hyper accessible, bien que beaucoup plus grande et belle qu’on l’imaginait
  • On a fait du shopping jusqu’à overdose
  • Finalement, Mr. Malinois aime bien le pays des rosbifs !
  • On n’a pas fait la moitié des trucs qu’on voulait
  • On a découvert un ukulélé tenor à 6 cordes (que vous pourrez voir au prochain concert de MiLK & Fruit Juice le 8 février prochain).
  • La TNT en Angleterre, ça marche pas top (inside joke)…

Dans la liste des restos, il y a eu Whole Foods Market (un marché/resto gigantesque avec des milliers de choses à manger, bonnes et saines), Fish & Chips (moins sain déjà ! Demandez à MiLK et Mr. Malinois comment était leurs raie et saucisse respectives…), Wagamama (de la cuisine asiatique servie quand c’est prêt… genre tout de suite !), Gourmet Burger Kitchen (avec un burger au Stilton !), Busaba (un excellent thaï qui figure dans mon carnet d’adresses depuis quelques temps déjà). Sans compter les Starbucks et autres cafés.

Quelques photos vite fait, par certains des protagonistes du voyage (on peut y reconnaître les touffes de certaines et les mains d’un certain).

Londres - Underground ©Cococerise
Londres - Wagamama, le resto ©airway
Londres - Wagamama, la bouffe ©Cococerise
Londres - Duke Of The Uke ©Littlesa

Mauvaises habitudes

Une fois n’est pas coutume, je vais initier une série de tag. En fait, c’est un peu parce que je m’y suis repris à deux fois pour comprendre le précédent «tagage» de Littlesa. Elle demandait ce dont je ne pouvais pas me passer (matériellement), mais j’avais d’abord pensé qu’elle demandait ce que je ne pouvais pas me passer de faire, quelles étaient mes manies et les petits trucs exaspérants que je pratique, toutes sortes de mauvaises habitudes, de TOC ou autre. C’était pas ça. Mais mon «tagage», c’est ça !

Je ne peux donc pas m’empêcher de…

  • siffloter, chantonner, fredonner (ça en énerve une, d’ailleurs !…) ; j’ai toujours un air dans la tête et lorsque je n’en ai pas, n’importe quels mot, phrase ou intonation m’en met un.
  • me mettre devant un ordinateur. Que ce soit pour mes mails, surfer, rechercher, faire des emplettes, lire des blogs, bidouiller… Je suis irrémédiablement attiré par les écrans. Quelle horreur. Le pire c’est que je passe déjà 8 heures par jour devant pour le boulot.
  • tout regarder avec un œil de graphiste, de designer. Décrypter, critiquer, analyser, etc. Ça peut me causer des problèmes parfois.
  • gaver les gens avec les trucs que j’aime. Que ce soit un film, les Macs, un resto, un groupe, mes derniers joujoux, etc. J’en parle jusqu’à en dégoûter l’interlocuteur (alors que les trucs sont biens, voir géniaux ! Je n’ai aucune mesure).
  • lire aux chiottes (pour un number two, parce que en pissant, c’est déjà plus dur). Toujours une bédé, un livre ou un magazine qui traîne.
  • laisser mon thé trop infuser, voire même oublier de le boire (si je n’ai pas laisser la bouilloire complètement refroidir avant !).
  • regarder des conneries à la télé. Je suis un grand fan de Pimp My Ride ou de Mon Incroyable Anniversaire. J’assume plus ou moins bien selon les émissions !
  • concevoir des projets énormes et finalement écarter l’idée.
  • espérer que les cons changent. J’ai continuellement foi en la nature humaine, mais parfois, c’est une nature morte…
  • tergiverser pour un gros achat et toujours craquer au plus mauvais moment (genre deux jours avant un baisse de prix, lorsque mes finances sont au plus bas ou lorsque qu’il n’y en a plus…). Du coup, maintenant, j’ai tendance à acheter tout de suite le truc pour ne pas me poser de question.
  • redresser ma narine gauche. C’est comme un tic, mais j’ai la cloison nasale déviée et parfois j’ai l’impression que ma narine est coincée. Un peu comme on fait craquer ses doigts (d’ailleurs, je fais craquer mes doigts aussi. Même en dormant il paraît !)

Allons-y : Sasa, Cocochemise, Malinoiz et Gnaat (pour qu’il relance enfin son blog), faisez moins les malins, c’est à vous !

De l’ambivalence des réseaux sociaux

C’est étrange les réseaux sociaux. Ça part d’une bonne intention, mais je trouve que ça dérive et que ça se barre peu à peu en couilles.

Juste après s’être inscrit, on y cherche ses amis, sa famille, ses collègues et les gens qu’on côtoie et apprécie le plus. Puis peu à peu, on recherche de vieux potes perdus de vue, des ex pour savoir ce qu’elles sont devenues… Puis des demandes nous parviennent d’anciens collègues de classe (qu’on les eût côtoyés ou non, comme quand on les croise dans la rue et avec qui on va avoir une discussion sympathiquement cordiale, alors qu’on s’adressait à peine la parole à l’époque), de mecs de la même association ou fanclub dont on faisait parti, d’amis d’amis. Pour certains, on hésite. Pourquoi untel et pas lui ? Puis on cède en se disant que ça ne mange pas de pain, etc…

Si bien qu’on se retrouve avec une liste d’amis hétéroclite où se combine très bons amis et vagues connaissances. Or il n’y a aucun moyen pour hiérarchiser cette différence.

Autant dans Flickr on peut distinguer les contacts des amis ou de la famille et choisir avec qui on partage telle ou telle photo, autant avec Facebook, les groupes d’amis ne permettent pas de filtrer les informations selon le degré d’intimité qu’on a. Je n’ai peut-être pas envie qu’un ancien patron découvre que je suis Régis-Robert au test «Quel personnage de Nerdz es-tu ?», ou que l’ex beau-frère d’une ex voit mes photos de vacances…

Il y nous reste alors deux options : soit on ferme complètement sa page en distillant le minimum d’informations, soit au contraire on ouvre tout à tous et on se résigne à ce que des gens découvre un peu plus de nous, et là, on peut se sentir un peu à poil parfois…

Étiquetage

Je me suis fait tagguer par Littlesa. Elle me demande de quoi je ne pourrais pas me passer. Si je veux creuser la chose, c’est là que ça se corse (du sud). Parce que je suis plutôt du genre à pouvoir m’adapter un peu partout avec ce qu’il y a.

Je ne peux donc pas me passer…

  • d’une connexion. Qu’elle soit web, téléphonique (Je ferai converger tout ça avec mon cadeau de Noël !) ou humaine. Je suis très «J’appelle un ami» pour des conseils, mais c’est plus social que pour avoir un vrai conseil. Je suis aussi un adepte de Wikipedia ou d’IMDB lorsque je me pose une interrogation ou que je recherche un acteur ou un film.
  • de musique. Dans ma tête, dans mes oreilles ou dans mes doigts, celles des autres ou la mienne… La musique sous toutes ses formes. Par conséquent, je ne peux plus me passer d’iPod (j’en suis à mon quatrième depuis 2002).
  • de fromage. Et c’est un peu ça le problème de ma ligne !
  • de quoi dessiner. Un bout de papier, un carnet, un crayon, un feutre. N’importe quoi pour griffonner une idée. J’ai dans mes cartons des bouts de nappes en papier remplis de dessins.
  • de Perrier ou d’eau pétillante.
  • de lecture. Ça me permet de continuer à faire travailler mon imagination. En ce moment, c’est l’autobiographie de Gordon Ramsay. Passionnant.
  • de vélo. Qui l’eut cru il y a un peu plus de six mois ! Vélib’ ou mon vélo, c’est assez dur de ne pas en faire, c’est tellement plus fun et agréable que de prendre le métro.

Je crois que c’est à peu près tout. Bien que je pense que je pourrais tout de même me passer de tout ça…

Bon. J’aurais bien taggué Mr. Malinois et Cococerise, mais Littlesa l’a déjà fait. J’aurais bien taggué Seb, mais son blog ne s’y prête pas. Alors je vais tagguer Pois chiche, Angrom, Archaos pour qu’ils me prouvent que leurs blogs ne sont pas en friche !

Les hommes ne savent pas danser

Travlota ? J’étais à une soirée samedi soir, très sympa au demeurant, mais j’ai ouvert les yeux sur quelque chose de bizarre. Les hommes ne savent pas danser. Attention, je m’inclue largement dedans. Je suis d’une nullité effarante. J’ai le rythme, mais les différentes parties de mon corps répondent de manière désordonnée et incohérente. Pour moi il existe 4 grands types de danseurs :

  1. Soit ils prennent ça à la déconne et bouge pour faire rire, nous l’appellerons le syndrome Mr. Bean.
  2. Soit ils le prennent trop sérieusement et ça nous fait rire quand même, le syndrome Travolta, mais 20 ans après.
  3. Soit ce sont des latin lovers qui se déhanche de manière obscène à tout bout de champ, régurgitant tous les cours de Salsa appris au Club Med, c’est le syndrome Patrick Swayze.
  4. Soit ils ne se risquent pas et se posent dans un coin à discuter pour mettre en avant leur maillage neuronal et ne pas montrer leur lacune corporelle. C’est le syndrome Stephen Hawking.

Dirty Dancer Généralement, je me situe dans la dernière catégorie et si on insiste vraiment, je passe à la première. En tout cas, il y avait un n°3 samedi et son déhanché avait quelque chose de too much… certainement les coutures blanches de son jeans… 😉

J’ai rencontré un fan…

…pas de moi, mais — pour le plus grand plaisir de Mr. Malinois — de Nerdz !

Le cast de Nerdz

Nerdz est une petite série qui passe sur NoLife (dispo sur les box ADSL), jeune petite chaîne à l’audience ultra ciblée (les nolifes !). Du coup, ça reste assez confidentiel. Alors, lorsqu’au détour d’une conversation sur Mario Kart, un stagiaire à mon boulot me glisse une allusion à Nerdz, ma surprise-surprise fut complète !

Et ce stagiaire me raconte qu’il est fan, qu’il passe son temps avec ses potes à ressortir les dialogues, qu’ils ont même en projet de faire un spin-off amateur où ils seraient les voisins des Nerdz,… Étonnant.

Du coup, je me la suis pété en lui disant que je connaissais Jérôme (le nom du personnage incarné comme un ongle par Mr. Malinois) ; il en pleurait presque, me demandant s’il pouvait le rencontrer.

De toute façon, je pense qu’il sera présent à la prochaine dédicace du cast pour la promotion du DVD. 😉

À ce propos, merci à mademoiselle Cococherry pour m’avoir fait découvrir Nerdz et pour m’avoir introduit — en tout bien, tout honneur — à Mr. Malinois.

Paris, c’est tout petit !

Paris, c’est tout petit ! Je ne suis pas du genre à me pâmer devant les célébrités. C’est bien simple, quand je faisais parti d’un fanclub, j’étais le seul à ne pas vouloir d’autographes quand on rencontrait le groupe (des coups de marqueurs sur mon CD ? Non, mais ça va pas !). Mais c’est vrai que je ne peux pas empêcher que ça me fasse bizarre quand j’en croise un, quand je mange à la table à côté d’un ou quand je suis dans la même salle de ciné ou au théâtre. Au fil des ans, j’en ai croisé un paquet, à Paris ou ailleurs.*

Ce que je préfère encore, c’est de croiser par hasard des gens que je connais. Ça aussi, ça arrive souvent.

Mais le summum, c’est quand je combine les deux : J’ai croisé l’Homme au ukulélé par hasard sur un quai de métro (malheureusement pas le temps de m’arrêter pour papoter). D’ailleurs, il n’a pas réagi à la photo que j’ai prise pour lui à Londres.

* (le plus marquant fut certainement Éric des Musclés au restaurant d’Ikea Plaisir, il y a une douzaine d’années !…)

La Journée du Slogan

La Journée du Slogan, ça fait briller les dents. Aujourd’hui, nous (KokoKirsche et moi-même) déclarons ouvert la première journée internationale du slogan.

Le concept est simple : créer et utiliser le plus souvent possible, tout au long de la journée au travail, des phrases sous forme de slogan (comme «Avec les stylos bleus, vous allez faire des envieux», «Une question, une interrogation ? Demandez à mon fion»,…).

N’hésitez pas à poster vos meilleures (ou pires) créations en commentaire.

La fin du Monde

Panne de crayon Ce soir, un nouvelle déception qui ne vient que confirmer ce que je savais déjà, j’ai perdu au Pictionnary chez des amis ce soir ! Moi qui étais pratiquement imbattable, je n’ai rien fait de pertinent ce soir. Nib, la zone, pas un dessin potable. J’ai été léger sur «monte-charge» ; J’ai séché sur «mouiller». Ça a été la plus mauvaise partie de Pictionnary de ma vie !

Quel désappointement…

Brunchitude

Chez Breakfast in America Hier matin (enfin midi), on s’est fait un plaisir, Sasa, Cococherry et Chick Pea. On est allé se faire péter le bide à Breakfast in America.

On connaissait déjà en resto, mais on n’avait pas fait la formule brunch.

Ultra complet : œufs et patates / pancakes et sirop d’érable / jus de chaussette et jus d’orange / toasts beurrés et confiture.

C’était bon. Plein à craquer (on a attendu 20 minutes dehors). Et étonnement, je n’avais pas trop faim hier soir !

La dure réalité de la déception

20 ans Tel que vous me voyez (non pas que vous me voyiez spécialement, mais bon, on va dire «tel que vous me lisez»), je suis déçu.

Vous savez, ce sentiment qui se développe lorsque quelque chose ne correspond plus à vos souvenirs. Je reviens avec quelques amis du Futuroscope et je dois avouer que ça sent un peu le sapin. Pourtant le parc fêtait ses 20 ans cette année et avait été racheté il y a quelques années par de nouveau investisseurs. Pratiquement tous les films des attractions ont été changé depuis 2004, donc ce n’était que des choses nouvelles pour moi qui suis déjà allé 2 fois (donc la dernière fois il y a six ans environ). Ça augurait que du bon… Mais laisser le parc à l’abandon à ce point, c’est criminel !

Je m’explique. Qu’on baisse le nombre d’employés à la morte saison (quoique, je n’appelle pas les fêtes de fin d’année la morte saison…) pour de raison de budget, je comprends, mais qu’on laisse les gens se foutre sur la gueule pour avoir des lunettes 3D parce qu’il n’y a personne pour les distribuer ; qu’on supprime toutes les préséances des attractions pour aussi éviter d’avoir du personnel ; qu’on attende trois plombe au resto parce qu’il y a 1 serveur pour 50 couverts ; que les films en images de synthèse de «dernières avancées technologiques» datent de 2000 (même s’ils viennent d’être changés ; que leur nouvelle attraction —Danse avec les Robots— a 50 minutes d’attente en période creuse et je vois mal les gens attendre 2h30 en été pour 3 minutes de secousses. Enfin que des petits détails qui te gâche la journée, mais surtout qui tranchent avec ce qu’on a vécu précédemment.
J’ai eu l’impression d’un parc qui n’a pas évolué depuis 10 ans et qui est coincé dans ses technos anciennes (IMAX,…). Le mot «numérique» est inexistant par exemple. Si le Futuroscope n’évolue pas, je ne lui donne pas 10 ans. C’est dommage, il y avait un tel potentiel…

Cela dit, on a passé deux jours formidables entre amis, avec la découverte d’un excellent resto à Poitiers (Bistro Pasta – 12, rue de la Croix Blanche).

C’est Noël !

Bon. Malgré mon billet précédent, j’ai fêté Noël et très bien en plus ! On s’est recréé une «famille» pour l’occasion. On s’est attaqué au mojito, puis au champagne et fait péter le bide (Tourte au Quorn, Nut roast, trifle,…). On a maltraité des lapins encore plus crétins et fait briller nos qualités de dessinateur au Kabookii.

On a ouvert les cadeaux à minuit comme si le Père Noël avait tout déposé pendant qu’on se baffrait. Mes cadeaux étaient sous le signe de Jack Skellington, de fringues et de DVD à l’humour déjanté (l’excellente série Nerdz et les Garage Babes d’Alain Chabat !).

Ce matin, gros petit-déj, discussions, glandage devant la télé en calbute et la journée est passée super vite. Du coup, j’ai fait un petit patchwork photographique à la Sasa pour l’occasion :

Un aperçu de mon Noël…

Merci à ma famille improvisée pour les éclats de rire à 2h du mat, lors des autos tamponneuses !

Un autre bon point, c’est que maintenant que Noël est passé, je vais enfin pouvoir acheter les trucs qui me font les yeux doux depuis plus d’un mois !

(Dé)prime de Noël

Le Père Noël vous emmerde ! Ça y est. On arrive à la période où tout le monde déprime. L’absence de soleil et le peu de sommeil atteint les plus joyeux de vos amis ? Vous avez l’impression que personne ne s’épanouit plus dans son travail et les grèves rendent tout le monde irritable et à fleur de peau.

Les moindres choses qui vous égayaient un peu vos journées semblent être les ultimes sursauts d’un passé révolu qui ne pourra jamais revenir. Les choses n’ont plus de goût (en même temps, vos prémices d’angine ne vous permettent même pas de sentir le goût de vos propres glaires…) et la vie semble fade et froide, triste et lugubre. Vous êtes reclus et avez l’impression que vous n’avez plus d’amis, et que la vie telle que vous la connaissiez est finie.

Mais n’ayez crainte ! Voici revenir l’éclat et la vie ; l’avant-Noël peut être un ravissement et rien que de l’imaginer va vous ragaillardir. Envoyez paître les traditions et faites-vous plaisir au lieu de faire plaisir aux autres pour une fois ! Voilà comment procéder :

L’album à privilégier pour ne jamais se faire réinviter

  • N’offrez rien à personne cette année.
  • Si vous devez absolument faire des cadeaux, choisissez les trucs les plus moches et les plus second degré (une marqueterie de Britney Spears enceinte, un album de Roch Voisine, 1 kilo de boudin noir, du sopalin,…).
  • Si vous devez apporter de la bouffe, apportez un truc que vous adorez et que vous savez que les hôtes détestent (par exemple des escargots chez des végétariens, de la rosette de Lyon chez des amis juifs ou musulmans,…)
  • Ruinez la soirée en prétextant que chez vous la tradition veut qu’on ouvre les cadeaux au fromage et faites ainsi sans attendre l’aval des autres.
  • Classez vos cadeaux par ordre de préférence à voix haute et n’oubliez pas de bien faire sentir si vous trouvez un cadeau pourri.
  • Barrez-vous avant minuit prétextant une autre fête chez des amis.
  • Profitez-en pour glisser aux mômes que le Père-Noël n’existe pas, ça aura toujours son petit effet.
  • Si vos cadeaux sont pétés, faudra pas se plaindre… Vous pourrez enfin passer la nuit peinard chez vous à bouffer des papillotes, boire du champagne devant Drucker, avec la jubilation du travail bien fait. Si vous êtes sages, je vous donnerais aussi des conseils pour passer une bonne nuit de la St-Sylvestre.