En Autolib’

Il n’y a pas si longtemps que ça, je parlais de voiture et d’environnement. C’est donc tout naturellement que j’ai pris un abonnement Autolib’ pour tester.

C’est bien. Très bien même.

Autolib'

Les voitures sont maniables, réactives et les conduire est un plaisir (malgré les angles morts arrières qui sont assez considérables…).

Le système de réservation est parfait (depuis un smartphone) : 30 minutes pour rejoindre la voiture réservée, mais surtout 90 minutes pour atteindre sa place de parking (réservée depuis un smartphone ou le GPS de la voiture). Surtout qu’il y a une borne juste derrière chez moi.

Le plus gros bémol est les autres utilisateurs. Entre ceux qui traitent la voiture comme une poubelle, ceux qui y fument (alors que c’est interdit…), on se retrouve parfois avec des trucs pas très enviables. Ce qui est dommage, c’est que l’on peut appeler le service clientèle Autolib’ pour leur dire qu’un truc est cassé ou ne fonctionne pas correctement, mais leur dire que la voiture est un dépotoir, ils s’en battent royalement, comme s’ils comptaient sur le conducteur suivant pour nettoyer…

Pour moi, il faudrait installer un détecteur de fumée et prélever une amende aux contrevenants, mais aussi installer une webcam pour que les gens se sentent observés et donc fassent plus attention. Sous le couvert de bonne intelligence, on pourrait aussi prévenir de l’état catastrophique d’une voiture et pénaliser le conducteur précédent ! Ça fait un peu collabo comme propos…

Autrement, mon abonnement annuel est déjà rentabilisé si je compte tous les trajets que j’ai fait depuis 3 mois et combien ça m’aurait coûté en taxi (ce sont eux qui ne vont pas trop aimer les Autolib’ du coup…).

J’encourage cependant toute personne qui hésite à essayer de se lancer (même pour un abonnement d’un jour qui est gratuit en ce moment, sans compter la durée de location après). On a déjà des témoignages de gens ayant revendu leur voiture au profit des Autolib’.

Et cet été, je pars deux semaines avec une voiture de location aussi, mais pas électrique vu le périple qu’on va faire (1600 km).

Vélo à Paris

Ça faisait longtemps que je n’avais pas parlé de vélo !

Maintenant que je cumule vélo + vélo pliant + abonnement Vélib’, il faut bien que je prépare mes trajets dans la capitale. Pour cela, j’utilise quelques outils (le jour où ils seront fusionnés, se sera le pied !).

  • Tout d’abord, un outil d’itinéraire qui permet de choisir un trajet plus sûr (avec un maximum de pistes cyclables ou de voies de bus) ou un trajet plus rapide (Danse avec les voitures). Ils ont aussi des applis smartphones, mais qui ne sont pas encore de vrais GPS vocaux) :
    GéoVélo
  • Je couple ça avec les infos de pente de VéloPente, ça me permet aussi de choisir des itinéraires moins suants ! Pas d’outil numérique cette fois-ci, mais une vraie carte papier !
    VéloPente

Bons trajets !

La corne aux doigts

Plus d’un an depuis mon envie. Ça y est, j’ai passé le pas et me suis acheté une belle basse Fender Precision 50s, modèle Mexico. Pas une américaine (trop chère), mais pas une coréenne non plus (trop pourrie). Elle a un beau son bien rond ou piqué si je le souhaite ; la polyvalence même. Et j’en remercie les bons conseils de mes amis et les mexicains qui l’ont assemblée avec leurs petits doigts.

J’ai juste à me dérouiller un peu les doigts jusqu’à ce que la corne réapparaisse et après je penserai à rejoindre un groupe ou à en remonter un, si le courage me prend. À bientôt au détour d’une scène…

(Un geek) habillé pour l’hiver [mis à jour]

L’hiver est là et pauvres geeks que nous sommes avons du mal à nous passer de nos objets tactiles. S’il fait froid, les engelures nous guettent à chaque réponse d’un appel, à chaque tweet ou autres.

J’ai donc testé pour vous deux modèles de gants : l’E-tip de The North Face et le tchouktchouk-pas-de-marque de Muji.

J’ai couru en vain tout l’hiver dernier après les E-tip (ils n’y en avaient même plus dans la boutique londonienne), ils sont enfin de retour en stock. J’ai choisi le modèle « sport », même si la déco laisse un peu à désirer (le sigle On/Off sur le bout de l’index et les points antidérapants font un peu ringard, mais passons…). Existe en 3 tailles pour homme et femme (en blanc !).

Au niveau du toucher, c’est étonnant comme ça réagit exactement comme avec la pulpe du doigt. Il faut juste penser à incliner légèrement le doigt, comme avec des ongles en fait ! Le fait que les pouces et les index soient réactifs permet même les gestes à deux doigts comme le zoom ou la rotation (toujours en pensant aux ongles). En revanche, je pensais qu’ils seraient plus chauds.

Quand aux Muji, ils sont simplement comme des gants en laine. L’avantage, c’est que tout le bout du pouce et de l’index sont recouverts, donc pas besoin de penser « ongles ». Ils réagissent tout aussi bien. Ils existent en plusieurs coloris, mais deviennent de plus en plus rares en magasin (ils les ont même enlevés du site internet). Cependant, ils sont tricotés, donc attention au velcro (d’un sac Freitag par exemple…).

En définitive, les uns comme les autres sont un bon investissement pour tout possesseur de téléphone tactile, tablette ou même trackpad de portable (30€ port inclus pour les North Face, 20€ pour les Muji).

[Mise à jour du 10 février 2012] Après quelques semaines d’utilisation en cette période de grand froid, voici quelques informations supplémentaires. Les gants Muji sont plus chaud que les North Face  en revanche, ils s’abiment plus vite… dommage.

Gribouillez avec Doodla

« Contraint » d’acheter un iPad pour le boulot, je voulais vous parler d’une petite app toute bête, mais qui m’amuse grandement : Doodla (qui existe pour iPhone aussi).

Après des constats alarmants, je suis content de voir qu’une simple application me « force » à redessiner. Attention, pas les meilleures illustrations de tous les temps, mais simplement j’essaie de trouver les plus créatives. Voilà comment ça fonctionne :

  • Chaque jour, une nouvelle page avec un morceau de gribouillage déjà fait. Ça peut être un trait, un zigzag, un tourbillon…
  • Complétez le gribouillage pour en faire quelque chose d’autre. J’essaie dans la mesure du possible que garder le gribouillage original visible, sinon quel intérêt ? Attention, pas de gomme. Comme l’Écran magique, si on se trompe, on recommence à zéro.
  • Soumettez votre doodle au vote de la communauté.
  • Votez pour les doodles des autres et attendez les résultats chaque jour (arrivé premier avec ma lava lamp !).

Pas de prix, pas de récompenses, si ce n’est un classement général (pas très juste puisqu’il y en a qui y sont depuis plus longtemps, mais bon, on fait ça pour le fun plus que pour le classement, non ?…).

À vos tablettes et bon gribouillages !

Locomote

Locomote - iconeUn petit billet rapide pour vous parler d’une application iPhone (et Chrome) qui j’affectionne tout particulièrement en tant que parisien (mais que j’aimerais autant si j’étais rennais).

Locomote ou comment rendre intuitif et rapide la recherche d’itinéraire, en incluant métro, bus et Vélib’ (au choix) ! Et comment la rendre fun aussi, puisqu’on marque des points en prévenant les autres utilisateurs de problèmes sur les lignes et que les points débloqueront au fur et à mesure d’autres fonctionnalités.

On peut aussi enregistrer des favoris et les itinéraires au préalable. On peut être prévenu de l’état du trafic des lignes qu’on va prendre, on peut être prévenu par push, etc.

Le gros avantage comparé à l’application RATP, c’est que les plans de situation sont explicites (points de départ et d’arrivée), et ça, c’est bien.

L’app est encore au stade de beta, mais avance vite. Elle bogue de temps en temps, mais on ne va pas se plaindre pour une appli gratuite !

Locomote - écran d'accueil Locomote - écran de recherche Locomote - plan d'arrivée

Dans mon iPhone #2

Je continue l’exploration des applications de que j’ai dans mon iPhone. Encore un peu de tout.

Graphisme

WhatTheFont

L’outil indispensable pour tout graphiste qui se respecte. On voit une typo, on la prend en photo et WhatTheFont l’identifie pour vous (ou une typo approchante). Version App du site internet.
• WhatTheFont sur l’App Store

Utilitaire

Poul’prête

L’application qu’on devrait toujours avoir. Autant, je sais ce que j’ai prêté grâce à une fantastique (et belle) application. En revanche, je ne sais pas trop ce que j’ai emprunté. Poul’prête (ouais, je sais, le nom…) est là pour ça. En 2 temps, 3 mouvements, vous aurez enregistrez tout ce que vous aurez emprunté ou prêté.
• Poul’prête sur l’App Store

Utilitaire

Tricount

Souvent, en vacances ou en weekend entre amis, certains payent des trucs, d’autres d’autres trucs et faire les comptes est toujours compliqué. Plus vraiment avec Tricount.
• Tricount sur l’App Store

Cinéma

Pixee

Éditée par UGC, cette petite App vous permet de prendre en photo une affiche de film, spectacle ou expo, et d’avoir tous les renseignements correspondants et même les ciné à proximité (UGC…) et les horaires.
• Pixee sur l’App Store

Jeux

Trainyard

J’aime les casse-têtes intelligents et Trainyard en fait parti. Le principe est simple : on a un certain nombre de trains au départ et il faut un certain nombre de trains à l’arrivée en dessinant le chemin avec son doigt. Facile. Mais plus on avance et des plus les subtilités vont apparaître (couleurs, croisement, fusion ou scission de ces couleurs…). Ce n’est pas si dur, mais on se creuse drôlement les méninges !
• Trainyard
• Trainyard lite (il y a des niveaux différents dans cette version gratuite !)

La musique dans la peau !

La musique me manque. J’ai quitté le groupe dont je faisais parti en décembre 2007, faute de temps disponible en passant freelance. Depuis, j’ai à peine touché mes grattes. J’ai bien tenté de m’y remettre avec une hache que je n’ai jamais eu le temps d’accorder comme je le souhaitais. J’ai même acheté une 3/4 classique à boyaux de chats pour grattouiller sans avoir à brancher quoi que ce soit.

Mais je dois bien avouer, passer du temps à composer ou même remonter sur scène me manque drôlement. L’énergie des concerts est une sorte de dope extraordinaire.

Du coup, j’ai décidé, je vais me remettre à mes premières amours : je vais acheter une basse. Et oui, j’étais bassiste avant d’être guitariste. Pas un bon bassiste, mais un bassiste quand même (je n’étais pas un bon guitariste non plus cela dit !). Le genre de bassiste invisible qui se cache dans le beat de la batterie.

Je ne sais pas encore ce que je vais choisir, mais je vais y aller avec mon bon ami NBK, le plus grand bassiste que je connaisse (1,97 m). Si jamais vous avez des petits trésors à me conseiller (dans l’absolu, je rêve d’une Rickenbacker, mais ça coûte un peu un bras et j’ai plutôt besoin de mes deux bras si j’achète une basse).

Vais-je remonter un groupe ? Je ne pense pas pour le moment. Je vais grattouiller et on verra plus tard.

Dans mon iPhone #1

Loin de moi l’idée de faire la promotion gratis pour Apple, je pense surtout aux petits développeurs qui ont besoin de manger en vendant des applications. Donc voici une première sélection de mes applis iPhone/iPad préférées (dont certaines déjà très connues).

Photo

Hipstamatic

S’il y a une appli photo a avoir, c’est bien celle-ci. On retourne à de la photo chaleureuse et typée, mais même une photo mal cadrée rend bien. Mes photos de New York déchirent.
Hipstamatic sur l’App Store

Organisation

Do It (tomorrow)

L’application idéal pour le procrastinateur que je suis. Une sorte d’agenda à 2 jours : aujourd’hui et demain. On se fait une liste de choses à faire et on peut simplement les remettre au lendemain. Si jamais vous ne faites pas les taches du jour, elles sont automatiquement reportées. Génial !
Version iPhone gratuite
Version iPhone et iPad synchronisable

Jeux

Angry Birds

Un succès sur l’App Store. Ces salopiots de cochons ont piqué les œufs des oiseaux. Ces derniers décident de se venger en catapultant des kamikazes sur les porcins. À chaque mise à jour de nouveaux niveaux. Addictif à souhait.
• Angry Birds iPhone [completlite]
• Angry Birds iPad [completlite]
• Angry Birds Seasons iPhone [completlite]
• Angry Birds Seasons iPad [completlite]

Musique

Bebot – Robot Synth

Une des premières appli que j’ai acheté sur les conseils (indirectes) de Jordan Rudess. C’est un synthé sous les traits d’un petit robot qui chante. Mais il ne faut pas s’arrêter à la simplicité du trait, les options et réglages de cet instrument sont très complets et aboutis. Mais en plus, c’est mignon !
Bebot – Robot Synth pour iPhone et iPad

Bientôt plus d’applications…

3 mois avec un Strida

Bon, pas vraiment puisque je n’en fais pas tous les jours, mais ça fait 3 mois que je l’ai acheté et je suis désormais capable d’en tirer les conclusions suivantes :

  • Les premières minutes sont assez folklorique. L’équilibre devient beaucoup plus primordial sur un engin pareil. Une dizaine de minutes suffise à dompter la bête. Mais ça donne envie d’acheter un Nutcase au cas où…
  • C’est un gadget extraordinaire. Non, pas un gadget. Un vélo, un vrai.
  • Il est assez confortable pour de longues distances, malgré son petit rapport de vitesse. 15 bornes dans Paris passent assez bien.
  • Il attise la curiosité. Incroyable le nombre de démonstrations que j’ai faites (même l’épicier en bas de chez moi).
  • C’est de la bonne came. Résiste à mes presque 100 kg et ne semble pas ciller entre mon poids et l’état des routes.
  • Facilement transportable. Dans le RER, le train, le métro… il faut juste faire attention à ne pas donner des coups de pédales, mais la chaîne en kevlar (sans graisse) ne risque pas de tacher le pantalon de votre voisin. En revanche, il ne rentre pas dans le coffre  (avant) d’une Porsche.
  • À ne pas prendre tout le temps. Pas pour aller au cinéma par exemple. On ne vous laisse pas rentrer avec. Pensez à acheter un antivol.

Si c’était à refaire ? Je n’achèterais pas ce vélo. Non, j’achèterai le modèle au dessus qui a des vitesses (Duo Speed), pour une raison simple : autant les montées sont faciles, les descentes, je n’en parle pas (heureusement que les freins à disques sont bons !), mais parfois, sur du plat, on a envie de tracer et ne pas pédaler comme un malade. Mais ça reste correct et je m’y fais très bien.

Jouets en brique

Je suis un geek sans borne. Il y a certaines choses qui me passionnent et parfois, je suis récompensé de mes monomaniaqueries. Je suis fan de Lego depuis tout petit, même si je n’ai pas eu la même collectionnite aiguë qu’un de mes cousins (qui avait tous les Lego de l’espace, le salaud !). Lorsque mes parents refusaient de m’acheter un Transformers, je m’empressais de concevoir une voiture transformable en Lego.

Lorsque j’appris l’an dernier que Lego avait acheté des licences Pixar, j’étais impatient de voir ce qu’ils allaient en faire. Toy Story et Cars ? Très bon choix. Je compte même acheter les Duplo en avance pour un(e) hypothétique descendant(e).

Lorsque que je vis les prototypes, j’étais enchanté. Trépignant de pouvoir les acheter.

Qu’elle ne fut pas ma surprise ce weekend, au détour d’une visite au Disney Store, de découvrir les premières boîtes. Il était hors de question de repartir sans une. J’ai jeté mon dévolu sur Buzz, Woody et RC, faute de pickup Pizza Planet. Ils trônent désormais dans ma bibliothèque, aux côtés de Gromit, Shaun et autres Stitch.

Quel geek.

Toi aussi, fais ton geek en achetant des Lego Toy Story

Mon futur vélo

Strida Edition Collector Ça y est, je l’ai essayé. Je sais déjà que ce sera mon deuxième vélo (on va tout de même attendre de gagner un peu plus d’argent…). Ça fait plus d’un an que je fantasme dessus, maintenant que je l’ai essayé, je sais que ce sera mon prochain achat tellement c’est l’évolution normale de la réflexion d’un cycliste citadin.

C’est vrai, faire du vélo à Paris amène obligatoirement à un raisonnement selon les utilisations :

  1. Le Vélib’
  2. Son propre vélo
  3. Le vélo pliable

Pour le Vélib’, c’est bon, j’ai un abonnement annuel, j’en fais pour de petits trajets à Paris et en petite couronne. Principaux inconvénients aujourd’hui : l’état des vélos et les bornes pleines lorsqu’on veut poser son Vélib’. Au bout d’un moment, on commence à connaître les bornes libres, mais on n’est jamais à l’abri d’un imprévu et tourner 20 minutes pour poser son vélo fait perdre l’avantage du Vélib’ par rapport au métro.

Prendre son vélo c’est bien. Mais parfois on a besoin de prendre les transports en commun, et là, ça se gâte… Même si certaines plates-formes des RER sont prévues pour les vélos, certains usagers ne se privent pas pour vous engueuler ou vous demander de sortir. C’est surtout très dangereux pour votre visage lorsque votre roue frôle le pantalon blanc de quelqu’un d’un peu colérique… J’ai même déjà réservé un espace vélo dans un train pour descendre dans le Limousin, histoire de me balader librement une fois arrivé. C’était très sympa, mais monter ou descendre son vélo en passant par la porte d’un wagon n’est pas chose facile, ni agréable.

D’où le dernier raisonnement : tout serait plus facile avec un vélo pliable. Mais le vélo pliable c’est souvent moche, pas pratique, long à déplier, lourd, chiant à transporter, etc.

C’est pour ça que je fus emballé le jour où je découvris le Strida au hasard d’une balade sur iTunes U. Imaginé par un designer anglais, le Strida est le premier vélo ayant un pliage simple et funky. En gros, c’est un triangle et on replie les trois branches ; plus comme une poussette-canne qu’un Transformers. Avec moins de 10 kg, 10 secondes pour le plier/déplier et 23 cm d’épaisseur une fois replié, le Strida devient le vélo pliant le plus pratique au monde.

Strida - Déplié et plié

Mais ce n’est pas non plus un demi-vélo. Mark Sanders, le créateur du Strida, l’a voulu performant et intelligent : freins à disque, courroie en kevlar non graissée (donc pas salissante), roues de 16″ minimum, cadre alu garanti à vie… Ça me fait penser un peu à ce que Ken Parker fait avec ses guitares dignes d’une fabrication aéronautique.

À pas moins de 600 € le joujou, j’attendrai encore un peu avant de craquer…

Taquiner le geek qui est en moi…

iMise en abîme Putain, c’est dur ! C’est dur de ne pas retomber dans des travers de nerd lorsque, en l’espace de quelques jours, on aquiert son premier téléphone pommé et qu’une souris magique, un tout-en-un de «ouf» et un mignon petit laptop pointent le bout de leurs nez chez notre fabricant de joujoux pour adultes.

Du coup, le sens des priorités part à vau-l’eau, on oublie qu’on vit avec la plus formidable des personnes et on met pour le coup toutes les chances de notre côté pour que notre relation parte en eau de boudin !

Je souhaite faire des excuses publiques à toutes les femmes délaissées par des accros aux PlayStations, par des obsédés du composant électronique, par des fanatiques de l’écran ou par des malades de l’ultra-communicabilité. À vous toutes, je demande votre pardon. On est malades, mais on se soigne (en tout cas, moi oui). Et parfois le traitement n’agit pas tout de suite…

Contre-attaque

Ceux qui me connaissent ou ceux qui parcourent ce blog régulièrement savent mon attachement aux produits pommés (en tant que graphiste, ça se comprend).

Sans vouloir relancer la guéguerre, je m’amuse de la bataille que se porte Microsoft et Apple (surtout incompréhensible lorsque l’on sait la part infime de Mac par rapport aux PC, on ne comprend pas bien pourquoi Microsoft se sent si menacé… Ah si, peut-être parce qu’ils ne savent plus faire de système fiable).

Du coup, j’ai été assez étonné de l’offensive lancée par Microsoft sur les écrans américains où ils donnent une somme d’argent aux gens (comédiens, je souligne) pour trouver l’ordinateur de leurs rêves (voir ci-dessous). Le plus étrange, c’est qu’ils ne mettent pas du tout en avant Windows, mais uniquement le prix de la machine. C’est sûr qu’un portable avec un écran 17″ pour moins de 1000$, on ne le trouvera pas à l’Apple Store…

En partant du constat qu’un ordinateur n’est qu’un assemblage de matériaux visés ensemble, c’est facile de donner l’avantage à un PC ! C’est comme comparer une Dacia Sandero (spéciale dédicace…) avec une Aston Martin  oui, ce sont des voitures et oui, la première est moins chère que la seconde. Soit ! Je ne dis pas que le PC est de la merde, mais il y a du bas et du haut de gamme et le choix final dépend surtout de l’utilisation et de l’utilisateur.

Du coup, j’ai été amusé par la réponse d’Apple, par publicité interposée. Celle-ci appuie bien sur la fiabilité et la sécurité du système, points que les utilisateurs lambdas (et pas lambada) devraient mieux considérer. Lorsqu’on achète un Mac, on achète bien plus qu’un ordinateur (ou qu’une marque…).

D’autres publicités soulignent l’inefficacité du service client pour PC (on parle toujours des États-unis, parce qu’en France, tant qu’on n’a pas de vrais Apple Stores, on ne peut pas s’en vanter) ou l’efficacité de la suite iLife

La guerre des publicitaires a commencé…

Summum de la geekitude

Éclairer le tableau électrique à l’aide d’un laptop pendant une coupure de courant. Geek or not?

Quoi, ma gueule !?

Je suis un geek. Mac Addict de surcroit. Donc lorsque une nouvelle version de iLife sort, c’est toujours un peu la fête (ce que je peux être triste !). Or je vais vous parler d’une nouveauté du nouvel iPhoto, le gestionnaire de photos numériques. Il y a maintenant un système de reconnaissance de visages et on peut nommer les gens présents sur la photo et le logiciel nous proposera automatiquement des photos où les protagonistes semblent être connus.

iPhoto '09 Visages
Dans l’idée c’est génial. Il reconnaît assez bien les gens (même si on lui pardonne de confondre des frères ou cousins). Mais parfois, il propose des choses bizarres, comme le «visage inconnu» ci-dessous… (promis, aucun trucage !)

iPhoto 09 détecte ma bite à la place d'un visage !

iPhoto 09 détecte ma bite à la place d'un visage !

À bichiclèèètteuh !

Mon vélo

Bon, les lecteurs assidus de tchizbeurgueur le savent déjà, je suis un novice en vélo. Mais l’été aidant, j’ai craqué, je m’en suis acheté un. Ça me changera du Vélib’ qui, même s’il est bien conçu, est tout de même rarement agréable à utiliser.

En hommage à notre Douille-Douille national, j’ai pris un vélo hollandais. Il est beau (le vélo), noir avec les gardes-boue couleur bronze (ça tape !). Il est ultra confortable, il a sept vitesses et m’a coûté un œil. Mais c’est le vélo de ma vie, celui que mes enfants refuseront d’utiliser dans 20 ou 25 ans parce qu’«il est trop pourri !»

C’est mon vélo.

La force de la Volonté

Je dois avouer, je me félicite : j’ai résisté à l’iPhone !

J’entends déjà ses détracteurs (Massey-Ferguson) et Doc Fusion crier au scandale, qu’on en fasse tout un flan de ce bidule, qu’on est des moutons, etc.

Je m’en fous. J’en veux un, même si je n’en ai pas besoin. Du coup, pour ne pas craquer, je me suis fixé des conditions avant d’en acquérir un (il faut qu’au moins une soit remplie, pas toutes ; faut pas déconner qu’en même !) :

  • qu’il sorte avec 32 Go de capacité (parce que les 16 Go de mon iPod touch sont un peu justes, et changer pour pareil, c’est con !)
  • que mon téléphone actuel meurt prématurément (la touche zéro répond déjà bizarrement, je suis en bonne voie…).

Mais depuis quelques jours, il y en a une troisième (de l’ordre de la rumeur) :

iPhone (RED) - une rumeur qui me ferait plaisir

Faites que mon téléphone meurt. Faites que mon téléphone meurt…